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sommeil

 » Plus de 1 personne sur 5 est concernée par des troubles du sommeil en France »
La quantité et la qualité de sommeil dont nous avons besoin sont très personnelles : chacun a son propre rythme. Notre environnement, nos habitudes de vie et notre hygiène influencent notre capacité à bien dormir et à récupérer pendant la nuit. Mais il existe aussi une part de génétique : c’est elle qui explique pourquoi certains sont naturellement lève-tôt ou couche-tard, ou encore pourquoi certains dorment beaucoup alors que d’autres se contentent de peu. Par exemple, les « petits dormeurs » ont souvent des phases de sommeil léger plus courtes.
Quoi qu’il en soit, si la durée totale de sommeil varie d’une personne à l’autre, la part de sommeil profond, elle, reste assez stable. Ce sont surtout les phases de sommeil léger et de sommeil paradoxal qui changent selon les individus.

💡Source INSERM :
D’après l’enquête de l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV 2020), environ 40 % des Français font au moins une sieste chaque semaine. Lorsque le besoin de sommeil nocturne n’est pas couvert, cette pratique qui fait appel à un sommeil lent léger, apporte des bénéfices avec un gain de vigilance et de performance. La sieste type dure entre 15 et 20 minutes. Elle se pratique plutôt en début d’après-midi dans un endroit calme.
Les spécialistes du sommeil recommandent de valoriser la sieste en entreprise et à l’école, à condition de choisir une durée et un moment propice dans la journée pour ne pas pénaliser l’endormissement le soir. Elle est également recommandée lors d’un trajet en voiture, dès les premiers signes de baisse de vigilance du conducteur.

Lien vers l’article INSERM

 

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